The Oatmeal utilise lâchement et systématiquement les animaux et leur vie sauvage pour mieux se moquer de notre propre vie et de ses codes parfois étranges. En petites saynètes qui peuvent aller de une à dix pages, il porte un œil critique et méchant sur notre société, plus particulièrement celle des jeunes, les modernes, les geeks, les hipsters, les nerds, etc. C’est souvent bête, mais c’est toujours drôle…