Atteinte d’une tumeur au cerveau, Megan doit rentrer à l’hôpital pour suivre une chimiothérapie. À son grand dépit, elle est transférée dans une unité de soins pour enfants… où le seul qui semble avoir plus de cinq ans est Jackson Dawes. Et tout le monde adore l’irrésistible Jackson, des enfants aux parents, sans compter les infirmières. Très vite, Megan se laisse apprivoiser aussi. Il lui rase la tête parce que de toute façon elle va perdre ses cheveux. Ils partent pour des balades nocturnes dans d’autres bâtiments puisque de toute façon qu’est-ce qu’une réprimande, ils vont peut-être mourir. Au mépris du règlement et de la maladie, Megan et Jackson se réinventent une vie de hors-la-loi, hors-la-maladie, même si chacun sait que le temps est compté…
L’avis de Cassandre
Si j’ai lu ce titre, c’est en partie sur un coup de tête, pour cette couverture très flashy que j’adore et aussi pour me replonger dans l’adolescence. Concernant le clin d’œil à Nos étoiles contraires de John Green, j’avoue l’avoir ignoré. Je n’aime pas les comparaisons avec d’autres titres surtout quand ceux-ci sont best-sellers. J’ai plutôt tendance à m’en méfier. Et je dois dire que hormis des personnages mixtes atteints d’un cancer, la ressemblance s’arrête là.
Megan, treize ans, a la malchance d’avoir une tumeur au cerveau. Elle n’a pas d’autre choix que d’aller dans un service pédiatrique d’un hôpital pour y suivre une chimiothérapie. Rien de réjouissant pour elle. Megan se sent seule, loin de sa famille, de ses amies et entourée d’enfants dont la moyenne d’âge est de six ans. Le seul autre adolescent s’appelle Jackson. Personne ne sait de quoi il souffre réellement et le pauvre cumule les allers et venues dans cette clinique… D’une joie de vivre et d’un optimisme à toute épreuve, il sympathise avec tout le monde. Mais Megan n’a pas envie de se faire de nouvel ami. Pour tout dire, elle est réticente sur beaucoup de points et très entêtée. J’ai eu mal au cœur pour Jackson quand Megan le congédiait et refusait de lui parler. Mais heureusement, la situation évolue vite.
A la vie, à la mort se lit très vite. Chapitres courts, grande police d’écriture et roman plutôt fin. C’est à la fois un point fort pour les adolescents qui ne raffolent pas de la lecture et un point faible car le texte n’est pas assez détaillé à mon goût. Les scènes sont courtes et la relation entre les deux personnages n’est pas approfondie. Au terme de cette histoire, je n’ai pas eu la sensation de les connaître. Côté maladie, on n’en parle pas énormément. Elle est souvent reléguée au second plan et je ne me suis pas totalement immergée dans l’histoire.
Malgré quelques défauts, l’histoire est belle et optimiste. Un roman idéal dès treize ans.
A la vie, à la mort de Celia Bryce, paru le 2 janvier 2015 aux éditions Albin Michel, 272 pages, 13,90€
Je pense que je le lirai un jour ! Il a l’air super bien 🙂
C’est une belle histoire :).
La comparaison avec « Nos étoiles contraires » me fait peur. Je n’ai pas envie de lire un roman qui ressemble à celui de John Green mais d’une qualité que je vais trouver peut-être inférieure.
J’avoue qu’il me plairait de le découvrir mais bon la comparaison avec Nos étoiles contraires me repousse un peu, je n’aime pas qu’on s’aide d’un autre livre pour faire marcher le sien 😉
Je ne sais pas encore si je le lirai, car j’ai lu un livre de ce genre y a pas longtemps, comparé à « Nos étoiles contraires ». J’ai été déçu donc avoir !
Coucou =)
J’aimerais bien le découvrir, sur le même sujet, je dois déjà lire Sans prévenir de Matthew Crow.
Je pense que ça pourrait me plaire ^^
Je ne pense pas lire ce livre, le côté peut détaillée du livre me rebute un peu …